plat

Saumon grillé sauce chamoy… Racontez-moi votre meilleur souvenir de saveurs, vous offrez ainsi un don au Secours populaire et remporterez peut-être un dîner somptueux !

Edition du 23 juin 2014. 
Merci à tous pour vos participations ! Après une lecture et une relecture de vos commentaires, je me suis décidée pour celui d’Alison, du blog Rappelle-toi des mets. Bravo à toi ! Tu remportes donc une sélection d’épices Ducros, le livre de recettes des 50 ans de Ducros et le coffret pour un dîner gastronomique. Pour remporter ton lot, merci de me transmettre tes coordonnées postales en m’écrivant danslacuisinedesophie(arobase)hotmail(point)fr.

Aujourd’hui je vous emmène en voyage. Nous allons partir pour un voyage de saveurs, le mien mais surtout le vôtre… Il y a quelques années, j’étais partie au Mexique et j’ai fini mon séjour à Cancun. Tandis que le paysage est plutôt bétonné, les habitants sont chaleureux, souriants, décontractés, prêts à vous aider. C’est ainsi que j’ai rencontré quelques locaux et que j’ai vu la vie à la mexicaine hors des sentiers battus.

Le jour de mon départ, j’ai découvert grâce à eux une adresse fantastique. Honnêtement, je n’aurais jamais trouvé seule cet endroit magique et si cela avait été le cas, je crois que je n’aurais jamais osé m’y aventurer. La voiture garée sur le bord de la route, il fallait arpenter un petit chemin couvert de buissons. Au bout, il y avait une cuisine en plein air faite de bric et de broc avec quelques chaises de jardin et des petites tables. C’était une adresse de poche comme on rêve d’en voir plus souvent. En quelques minutes sans avoir rien dit ou choisi, je me suis retrouvée avec une boîte remplie d’empanadas de poissons avec une sauce au citron vert et piment succulente. Cela reste mon meilleur moment gastronomique du pays, si inattendu, si simple et si merveilleux et bon à la fois. Nous avons partagé le bonheur d’être ensemble avec ce plat tout en saveurs. Je garde pour toujours un souvenir ému de ce moment.

Du Mexique, j’ai une délicieuse sauce sucrée-salée à vous faire découvrir : la sauce chamoy. Elle est composée d’abricots, de jus de citron de vert, des épices et du piment. Me rappelant mes fameux empenadas de poisson, j’ai pensé à la servir avec du saumon. J’ai réalisé des petites bouchées pour les picorer à l’apéritif, accompagnées de mojito ou de bière. Je vous donne la recette ci-dessous.

En vous racontant mon histoire, je vous propose de raconter à votre tour sur le blog votre plus belle histoire de saveurs. Celle-ci servira à offrir de la nourriture à des personnes dans le besoin. Comment ?
Pour chaque histoire partagée, Ducros et McCormick (dont Ducros fait partie) feront un don de 1 dollar à United Way et ses associations partenaires. En France, Ducros soutiendra le Secours populaire.  Chaque commentaire sera ici comptabilisé. Plus il y aura d’histoires et mieux ce sera pour le programme solidaire et l’association.Vous pouvez donc écrire plusieurs histoires si vous le souhaitez.

Le jeu débute le 2 juin 2014 et se clôturera le 18 juin 2014 à 23h59 sur ce blog. Parmi tous les commentaires déposés au pied de ce billet, j’en choisirai un. J’ai pris le parti de faire gagner celui qui m’aura le plus touchée. Le gagnant remportera un cadeau d’un valeur de plus de 400 € :
– Une sélection d’épices Ducros
– Le livre de recettes des 50 ans de Ducros
– Un coffret offrant un dîner gastronomique d’exception pour 2 – tables étoilées

Saumon grillé sauce chamoy
Pour 4 personnes

2 pavés de saumon
6 cuillères à café de confiture d’abricots
Le jus de 2 citrons verts
1 cuillère à café de mélange malin Mexicain Ducros
quelques piments en rondelles Ducros
4 branches de coriandre fraîche

Préparation
Dans un bol, mélanger la confiture d’abricots et le jus de citron vert. Incorporer les épices. La sauce doit être un peu épaisse, son goût sucré, acidulé et légèrement relevé. Ajuster l’assaisonnement si nécessaire.
Enlever les arêtes du poisson et détailler les pavés en petits cubes ou en rectangles.

Cuisson et service
Faire cuire le saumon sur un grill très chaud. Débarrasser sur une assiette. Badigeonner les morceaux de saumon de sauce chamoy. Disposer quelques feuilles de coriandre et éventuellement des rondelles de piment. Servir de suite.

16 Commentaires

  • Bonsoir Sophie
    lorsque j' ai mis les pieds au Maroc, la première fois il y a dix ans, je ne connaissais de la cuisine de là-bas que le couscous, et ce que j' en avais lu…. Et lorsque j' ai découvert la pastilla au pigeon j' ai été émerveillée par ces saveurs délicates, du salé, du sucré, du miel, de la cannelle, du croustillant, du moelleux…. depuis j' ai appris à la faire, mais c' est si long et ce n' est pas aussi magique qu' à Marakkech !

  • Bonjour! Tout d'abord merci pour cette recette, elle a l'air succulente! Pour ce qui est de mon meilleur souvenir culinaire, je dirais que c'est la tarte au citron meringuée de ma grand-mère. Quand j'étais petite, elle en faisait souvent (et nous en réclamions souvent). C'était une tarte riche en citron, fondante avec une meringue bien croustillante. J'adorais ce dessert, c'était mon préféré. J'aime toujours la tarte au citron meringuée, mais je ne retrouve plus ce goût-là. En effet, ma grand-mère est maintenant décédée, et nous n'avons pas retrouvé la recette de sa fameuse tarte! Mais je ne désespère pas de retrouver ce goût-là! Pour moi, c'est vraiment le meilleur souvenir culinaire que j'ai! Bonne continuation pour ton blog continue de nous faire saliver!!

  • Allez, je me lance, pour la bonne cause (merci Ducros) !
    Je crois que mes meilleurs souvenirs de saveurs sont ceux de la cuisine de ma grand-mère maternelle. Une cuisine rustique mais authentique, riche mais surtout généreuse, simple mais délicieuse.
    Ma grand-mère fut ma seconde maman et je pense que maintenant, quand je cuisine comme quand je mange un plat, c'est sa cuisine que je recherche ! Je pense que je ne retrouverai jamais ses recettes de langue de boeuf à la sauce madère et de lotte à l'armoricaine… mais cela reste les deux plus vifs souvenirs gustatifs de mon enfance… Rien à voir avec les coquillettes-jambon… mais ça fait de beaux souvenirs !
    Ma grand-mère était une cuisinière surdouée, capable de réaliser n'importe quel plat, et surtout, elle adorait cuisiner pour faire plaisir aux autres. Elle était capable de se mettre aux fourneaux à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit, pour sa famille et ses amis. Mon amour de la cuisine et de la pâtisserie, même si je suis encore parfaitement novice, me vient d'elle et je ne la remercierai assez pour ça ! <3
    Merci Sophie de me donner l'occasion de rendre hommage à ma mère-grand qui me manque tant !

  • Il y a quelques années j'aurais parlé des souvenirs de cuisine avec ma grand-mère mais je dirais aujourd'hui que c'est beaucoup plus lié à ma fille. Je me rappelle exactement de la tête qu'elle a fait quand elle a goûté à sa première purée de courge, elle souriait mais ne savait que faire de ce qui rentrait dans sa bouche alors elle n'arrêtait pas de sortir sa langue car le goût lui plaisait. Sa première compote a quand à elle provoqué de belles grimaces. Elle a mis longtemps à les apprécier. Plus grande quand elle s'est remise à manger un des événements qui m'a marqué c'est le jour où j'avais préparé un tajine et quand elle est rentrée déjeuner elle m'a dit hum ça sent bon j'ai faim, venant d'elle ça valait tous les compliments du monde.

  • Coucou Sophie! Des histoires de plats que j'ai aimés ou de contextes, j'en ai plein, dur dur de choisir… Je vais te livrer mes plus jolies histoires puisque c'est le ton que tu as donné 🙂

    La première histoire que je voulais partager c'est la découverte du Trianon au chocolat. J'avais une amie avec laquelle nous avions pris l'habitude d'organiser des "repas de rêve" (l'une choisissait ce que l'autre devait cuisiner , avec pour seule limite l'aspect financier parce que nous étions étudiantes). J'ai adoré ce dessert, avec cette couche croustillante pralinée…mais surtout, il m'en restait une tonne , et je commençais déjà à avoir mon âme de "partageuse extrême" (j'offre de la nourriture à à peu près n'importe qui, mes marchands de légumes…bref, revenons à nos moutons). J'ai donc pris mon courage à deux mains, mis une part dans une assiette en plastique, et suis allée voir le sans abri qui était là tous les jours devant la porte de mon immeuble, et je lui ai proposé d'en manger, en lui demandant si je pouvais m'assoir avec lui… J'ai ainsi appris qu'il s'appelait Marcel, que son gâteau préféré était le moka, puis je suis rentrée chez moi.
    Mais ce n'est pas tout! Il m'en restait encore pas mal, et je venais de rencontrer un garçon sur internet, que je n'avais jamais rencontré en vrai, et dont j'avais, par je ne sais plus quel miracle, l'adresse. J'ai donc repris mon courage à deux mains, j'ai emballé une part dans de l'alu, ai pris le métro, suis allée jusque chez lui sans qu'il soit au courant de rien, et j'ai déposé la part sur une fenêtre de l'immeuble, que j'ai prise en photo pour qu'il situe, puis lui ai envoyée par mms avant de me sauver en courant pour surtout pas qu'il m'aperçoive… Tout ça le cœur battant à tout rompre!
    5 min après, je recevais un mms de la part à moitié entamée avec en commentaire qu'il voulait m'épouser 😉

    Bref, cette première anecdote illustre à quel point j'aime la cuisine pour les rencontres qu'elle nous permet de faire et les relations qu'elle crée. (et depuis, j'offre des croissants à mes marchands de légumes, je cours dans tout l'immeuble partager des religieuses, j'emmène des gâteaux pendant mes gardes… no limit 😉 )

  • Ma deuxième anecdote concerne les crêpes. J'ai toujours adoré les crêpes de ma famille, étant limite hargneuse face aux recettes des autres hihi (que veux tu, ce sont les nôtres les meilleures 😉 bien riches, avec énormément d'œufs, du rhum, en quantité astronomique…je ne concevais pas les crêpes autrement!)
    Puis j'ai entamé ma première garde de nuit, et mon copain de l'époque, subtil comme les garçons savent l'être, m'a demandé ce que j'aimais pour le petit déjeuner, ma viennoiserie préférée, à quelle heure je rentrais…
    Je m'étais donc préparée à avoir un croissant pour le petit déjeuner, moi qui n'avais envie que d'un bon bol de céréales réconfortant avant de me coucher (mais je n'avais pas osé lui dire que mon petit déjeuner préféré, c'est tout simplement mes weetabix 😉 )

    A mon arrivée, ô surprise, des cœurs formaient un chemin jusqu'à la table du salon, avec dessus une magnifique assiette de crêpes, dont une découpée en lettres formant un "je t'aime", et toutes les garnitures possibles autour.

    Ca a été l'une des plus jolies surprises de ma vie, et ces crêpes étaient incroyablement bonnes, au moins autant que celles de ma maman 😉

  • Coucou petite Sophie ! Difficile de choisir UN souvenir de saveur…Quand j'étais petite, ma mère ne travaillait pas le vendredi. Quand je rentrais de l'école à 16h30, dès le palier, j'étais accueillie par des effluves chocolatés. Un pudding au chocolat nous attendait, ma soeur et moi, tout juste sorti du four, toujours dans le même plat en Pyrex, réalisé avec les restes de pain dur… Il aurait fallu attendre qu'il refroidisse mais la gourmandise était trop forte. C'est en soufflant dessus que nous nous délections de ce gâteau que je n'ai jamais réussi à refaire moi-même (ou en tout cas, sans réussir à lui redonner le goût de mon enfance !), en reprenant une petite tranchette après l'autre jusqu'à ce qu'il n'en reste plus qu'une que personne n'osait prendre 🙂
    Bisous…

  • Septembre 1999. J'ai 25 ans, je pose les pieds pour la première fois en Haïti où je vais rester pendant 2 ans pour enseigner dans une université de Cap-Haïtien. Les rencontres sont multiples, les découvertes nombreuses, les nouvelles saveurs à chaque coin de rue.
    Mais je voudrais partager avec vous un des moments rares et précieux de ce séjour. L'une de mes étudiants, Marie-Lucille (surnommée Cilotte) m'a invité à diner chez elle avec 2 autres enseignants. Nous sommes arrivés dans une maison modeste où vivait une famille nombreuses. Cette maison se trouve sur les premières pentes des mornes (petites montagnes en Haïti) qui mènent vers Cormier (si quelqu'un connait…). Elle nous a installé dehors et à commencer à nous servir de nombreux plats à base de poissons, de riz pois, de bananes plantains; le tout évidemment accompagné de rhum punch… Malgré des moyens limités, le repas était gargantuesque et les plats délicieux.
    Après que la soirée ait à peine commencé et alors qu'il faisait encore jour, Cilotte a posé un gros chaudron sur des braises ardentes, versé du lait et du sucre dans le chaudron et a commencé à tourner sans arrêt. Après un certain temps, nous lui avons demandé ce qu'elle préparait. Elle nous a répondu "des douces". Les douces en Haïti regroupent tout ce qui est sucré du bonbons au biscuits et là, elle préparait des douces lait.
    Recette (selon mes souvenirs):
    2 litres de lait
    1 kg de sucre
    On verse le lait et le sucre dans une grosse casserole et on fait cuire à feu doux en remuant sans arrêt (je dis bien sans arrêt).
    Retour au récit: le soleil s'est couché, les punchs se sont enchainés et Cilotte continuait à remuer. Le lait réduit doucement, se transforme petit à petit en confiture de lait puis continue à épaissir jusqu'à devenir une pâte assez épaisse. Cilotte la débarrasse alors dans un plat et la laisse refroidir. Elle la découpe ensuite en petite barre.
    Mais pourquoi a-t-elle fait cette recette? Pour moi, parce que j'ai une "bouche douce": pas de malentendu, en créole, cela signifie un bec sucré, un gourmand et elle savait qu'elle allait me faire plaisir…
    Juin 2010: retour en Haïti 10 ans après. Retrouvaille par hasard avec Cilotte et sa famille, invitation à manger et Cilotte s'est mise à tourner sachant qu'elle ne pouvait me faire plus plaisir…

  • Allez, un dollar de plus 🙂
    Du plus loin que remontent mes souvenirs, ma "mémé" a toujours été une très vieille dame… Ma "mémé", c'était mon arrière-grand-mère, qui nous a quitté il y a quelques années maintenant, à l'âge très vénérable de 98 ans ! Elle était italienne, et malgré les nombreuses années passées en France, elle avait gardé son accent italien, ainsi que quelques expressions qu'elle glissait au milieu des phrases sans crier gare, rendant la compréhension parfois compliquée pour la petite fille que j'étais. Parmi ses spécialités culinaires, il y avait le "pesto", avec un goût unique. Il était si bon, si doux sous la langue et au goût, qu'il était difficile de résister à la tentation d'en prendre une cuillère avant de le mettre dans les pâtes, faites maison bien sûr, avec la machine rutilante directement venue d'Italie, dont j'ai hérité. Depuis, j'en ai mangé des pistou, mais j'ai rarement retrouvé le goût de celui de Mémé, si bien équilibré, avec ses saveurs d'huile d'olive, de parmesan et de basilic frais. Une fois, chez un traiteur italien, malheureusement fermé aujourd'hui, j'ai eu la surprise de retrouver le "pesto" de mon enfance… En fermant les yeux, j'ai soudain cru entendre la petite voix chantante de ma mémé qui, en se mettant aux fourneaux malgré son âge, nous disait son bonheur de nous voir.

  • bonjour ,
    j adorais le far cuisine par la grand mére de mon mari. des que l on rentarit dan la maison il y avait une odeur qui nous remontait.
    c etait plein de beurre mais tant pis.
    on se gavait pour le gouter et bien sure le soir on ne pouvait rien avaller.
    je n ai jamais retrouver le gout de ce far ….elle le faisait de tete. sa recette est partie avec elle dans sa tombe

  • Pour ma part un de mes meilleurs souvenirs ce sont les noix de St Jaques que prépare ma grand-mère pour Noël. Car comme tous les ans on fête Noël le 26 décembre chez mes grands parents paternel, et on y retrouve toute la famille… Elle en préparait un grand plat avec une sauce délicieuse, j’attends tous les ans ce 26 décembre! Malheureusement il manquera quelqu’un à la table le prochain 26, mon grand père qui nous a quitté il y a un mois… Alors profitez des bons moments en famille car on ne sait jamais ce que la vie nous réserve!!!

  • Pour ma part le meilleur souvenir de saveurs ce sont les crêpes de ma maman !!! Petits nous en avions tous les mercredis soirs avec mon frère! elles sont maintenant encrées dans nos têtes et nos papilles!!! Crêpes sucrées maison pour la majorité des fois : avec du cidre, sucre, confitures maison et l'inévitable nutella!!! c'est donc avec un grand plaisir que nous refaisons aujourd'hui tous ensemble des soirées crêpes!!!!

  • Bonjour Sophie, sympa ce concours 🙂

    Je ne parlerai pas de ma grand mère mais de la découverte du goût d'un éclair au café. Je suis intolérante au gluten et je n'ai donc jamais mangé ce type de pâtisserie. Il y a quelques années LA pâtisserie sans gluten a ouvert ses portes à quelques rues de la République. Et là difficile de choisir.
    J'ai fait mon choix car je n'avais jamais mangé de pâte à choux.
    Quand j'ai coupé mon éclair, jnazi aimé la sensation entre la pâte a choux un peu molle, un peu croustillante tout en devinant la gourmandise de la crème au café. Et là en bouche… La découverte de la finesse d'une pâte à choux allié au café. Un régal de saveurs jusque là inconnues.
    Je ferme les yeux et les sensations reviennent. La rareté d'une simple pâtisserie quand on est intolérante au gluten.

  • Très belle initiative !
    Pour ma part ce sera un souvenir, simple mais gravé dans ma mémoire à vie.
    Malgré ma passion pour la cuisine et mes différentes expériences culinaires, je n'ai jamais réussi à retrouver le goût et la texture de la blanquette de veau de ma grand-mère. Sa sauce était goûteuse avec une texture onctueuse et nappait à merveille ses petits morceaux de veaux bien tendre. J'essaye et re-essaye mais rien à voir avec la sienne. Mais cela reste un plaisir de réaliser cette recette car le souvenir revient à chaque fois et cela reste un plat savoureux et ancestral !
    Bonne journée à tous

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